Les vendeurs de maladies
Emission de Elise Lucet diffusée hier soir (vendredi 27 avril 2012)
Ces laboratoires qui inventent de toutes pièces une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu’ils viennent de mettre au point, parfois malgré des effets secondaires avérés, pour lesquels ils ont déjà prévu de nouveaux médicaments.
Oui, vous avez bien lu !
Ce vendredi en deuxième partie de soirée, le nouveau magazine d’information d’Elise Lucet se penche sur un sujet qui dérange et ce, dans le but d’alerter l’opinion publique. Il est temps que les gens sachent ! Il est en revanche dommage de constater qu'une fois de plus, ce documentaire est diffuser en 2eme partie de soirée.
Le but :
"Nous montrons ce que cachent le marketing et la communication bien lissés de ces géants. Il est notoire que journalistes et attachés de presse travaillent ensemble alors que, parfois, leurs intérêts divergent. Je voulais casser ce ronronnement"
Casser ces interviews entendues et faire dériver le sujet vers des questions plus sensibles et carrément dérangeantes. Montrer comment ces professionnels des relations avec la presse et le public cherchent parfois à nous piéger, journalistes et citoyens. Après notre enquête, nous terminons le magazine par le portrait d’une personne ayant réussi par sa force de conviction et son obstination à faire plier un de ces grands groupes. On les appelle aux États-Unis : les “lanceurs d’alerte"
Sujet traité cette semaine : Les vendeurs de maladies
Il s’agit, commente Elise Lucet, de certains laboratoires qui inventent de toutes pièces et avec une force de frappe étonnante une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu’ils viennent de mettre au point. Les laboratoires Merck et Sanofi seront mis en cause dans cette enquête inédite.
Pour ce premier numéro, elle s’intéresse aux « vendeurs de maladies », ces laboratoires qui inventent de toutes pièces une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu’ils viennent de mettre au point, parfois malgré des effets secondaires avérés, pour lesquels ils ont déjà prévu de nouveaux médicaments
Elle évoque également Shanti Senthikuma, une Indienne de 34 ans vivant dans le Kerala, un État du sud ouest de l’Inde qui s’est battue pendant des années contre la compagnie Coca Cola qui, pour les besoins de production de son soda, privait la population d’accès à l’eau potable !
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Edité le 28 avril 2012 par :